Jeudi 8 février 4 08 /02 /Fév 12:19

Il a 27 ans, j'en ai 60. Il vit au Maroc pour l'instant, moi en France. Il devrait bientôt venir étudier pas loin de chez moi, mais il n'a pas dit quand.

Il m'a contacté sur Roméo car il cherche un esclave ou un soumis. Il parle de sexe bien sûr. Est-ce que je serais intéressé ?

A vrai dire je ne sais pas, l'état de soumis est un peu plus souple que celui d'esclave, j'ai longtemps été tenté par ce type de jeux, mais ça implique d'être relégué au second plan, de taire ses désirs pour subir et obéir à ceux des autres... 🙁 Moi ce que je veux c'est de la tendresse.

Il me dit qu'il peut être soft ou hard, je lui demande ce qu'il en est, ses réponses me font penser qu'il débute dans ce domaine car ses pratiques hards, je les trouve plutôt soft et banales.

Moi j'ai envie de contact, d'être touché, de toucher, cela fait des années qu'il ne s'est rien passé près de mon corps. Et dire que ça me manque énormément, c'est un euphémisme.

Je lui dit qu'on verra ça quand il sera en France, près de chez moi.

Que va-t-il se passer ? Le plus probable c'est que nos échanges s'arrêtent là, ce ne sera pas la première fois qu'on me fait miroiter des rencontres et qu'il ne se passe plus rien ensuite.

Dans cette idée, et parce qu'il a éveillé des désirs en moi, je me mets à les imaginer ces rencontres. Je devrais me mettre à nu devant lui (c'est le minimum), puis je devrais le lécher, ou lui faire des fellations (c'est toujours un peu la même chose, en fait 🙄), après quoi il me prendra pour jouir en moi...

Et voilà ! A la prochaine !

Moi, tant qu'à se mettre en frais, j'aimerais que ça aille plus loin, je voudrais être humilié. Ressentir un réel abaissement, que cela me déchire intérieurement. Mon père me déchirait intérieurement lorsqu'il me battait, lorsqu'il me tripotait quand j'étais dans le bain, lorsqu'il a décidé qu'à 12 ans je devais être circoncis — comme lui l'avait été plus tard — et que cela m'a provoqué d'atroces douleurs de cicatrisation.

De cela j'ai retenu que je ne comptais pas, que je ne compte toujours pas.

Alors soumis ? Esclave ? Être entre d'autres mains, sans avoir mon mot à dire. Rien ne change, c'est ce qu'il me faut.

Par Fantaisies en rut mineur - Publié dans : Journal intime
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Dimanche 25 décembre 7 25 /12 /Déc 07:00

« - Tiens, voici ton cadeau.»

 

Je pris le paquet que me tendait ma femme. Un paquet de taille rectangulaire, plutôt léger, trop grand pour ne contenir qu'une simple bouteille de parfum, trop petit pour contenir un de ces cadeaux de geeks qui plaisent tellement aux hommes...

 

Je l'ouvris et découvris avec stupéfaction... Un baillon, des bracelets en cuir avec anneaux, un collier en cuir avec des anneaux, des cordes, un pagne...

 

Je regardais ma femme, l'air surpris et interrogateur.

 

« - J'ai vu les pornos que tu télécharges sur ton ordinateur... J'ai pensé que ce genre de cadeau te plairait. »

 

Je devins rouge pivoine... Comment avait-elle accédé à mon ordinateur, protégé par mot de passe ?

 

« - Allez ! On va les essayer. Enlève ta chemise. »

 

Un peu sonné, les mains tremblantes d'avoir été "découvert", j'enlevais ma chemise, sans trop comprendre ce qui se passait. Je me demandais depuis quand elle savait que je bandais sur des pornos SM, pourquoi elle n'avait rien dit. Je cherchais si quelque chose, un changement d'attitude de sa part aurait dû me mettre la puce à l'oreille ces derniers temps. Je ne trouvais rien, je devais être très sûr de moi (et de mon mot de passe) ! Ou elle était très forte ! Ou j'étais très con...

 

Une fois ma chemise enlevée, elle me passa le collier autour du cou.

 

« - Alors, on devient le chien-chien à sa mémère ? » fit-elle ironiquement.

 

Je la regardais, un peu hébété, cherchant maintenant lesquels de mes pornos elle avait vu. Ils étaient tous très semblables : des hommes qui se font déshabiller, humilier et frapper par d'autres hommes... Se demandait-elle si j'avais des tendances homosexuelles ? Moi je savais que, oui, j'étais à moitié pédé... Et je croyais mon secret bien gardé...

 

Se demandait-elle si j'enviais les acteurs que je voyais dans ces pornos ? Là aussi il n'y avait pas de doutes sur la réponse : je bandais comme un malade en les voyant, j'aurais aimé être à leur place, même si j'étais effaré par les traitements qu'ils subissaient. 

 

Ma femme me passa les bracelets aux poignets puis me lia les bras derrière le dos.

 

Elle passa ensuite une corde par les boucles des bracelets et les joignis au collier, me remontant les bras autant que possible et nouant l'ensemble. 

 

J'avais les bras reliés au collier, elle me tira les bras, la corde tirait sur le collier et m'étranglais.

 

« Tu as compris que tu dois rester bien sage ? » me fit-elle.

 

Bien qu'encore sonné par les remises en question que supposaient ses découvertes, je supposais qu'elle attendait une réponse affirmative, je hochais la tête.

 

« - C'est bien. » Elle me caressa l'entrejambe.

 

«- C'est encore tout mou » fit-elle, jouant le désapointement. « Je ne suis pas  assez méchante ? »

 

Elle me passa alors le baillon, un baillon à boule dont la gêne ne tarda pas à se faire sentir. Puis elle me déchaussa et entrepris de me défaire de mon pantalon, je restais en boxer, en chaussettes, les bras entravés, la salive qui suintait par le baillon et je la regardais avec des yeux presqu'implorants, tandis qu'elle me parcourait du regard, de haut en bas, un petit sourire aux lèvres.

 

Elle me recaressa l'entrejambe, je me dis que, bon, de toutes façons, on y était : elle savait tout de moi, elle me dominait, elle m'avait à sa merci, j'avais de mon côté toujours plus ou moins rêvé d'une situation pareille... Autant se laisser aller... Je me laissais bander. 

 

Son petit sourire s'accentua, elle s'agenouilla, me prit le boxer à deux mains, le fit lentement glisser et découvris mon petit pénis qui venait de gagner quelques centimètres de longueur et un peu plus de fermeté. Elle le prit dans sa bouche tout en me caressant les fesses et les cuisses.

 

Ma femme m'a toujours divinement sucé, c'est d'ailleurs la perspective de ses fellations qui a scellé notre mariage... Mais là, entravé, étranglé, inconfortable, chacun de mes soubresauts se transmettant à mon collier, je n'étais pas à mon aise pour en profiter. J'avais en plus ce baillon qui m'emplissait la bouche de bave et chaque hoquet de plaisir me faisait en avaler de travers...

 

Ma femme continuait à me sucer, elle m'introduisait un doigt dans l'anus, le caressait aussi et cela amplifiait encore mon érection. J'étais partagé entre le plaisir et le désarroi, partagé entre la concupiscence et la souffrance, entre les larmes et le désir de plaisir.

 

C'est alors qu'on sonna à notre porte.

 

On sonna une deuxième fois. On insistait.

 

Cette "incursion" dans notre intimité de Noël était tellement innattendue qu'il nous fallu quelques temps pour nous en rendre compte. Ma femme interrompit sa fellation. « Tu attends quelqu'un ? » me demanda-t-elle. Je secouais la tête, projetant de la bave de-ci de-là.

 

« Je vais voir » dit-elle. Je la regardais sans comprendre, qu'est-ce qu'elle allait voir ? Il suffisait de laisser sonner !

 

Elle me couvrit du pagne : « il ne faudrait pas qu'on te voit comme ça, n'est-ce pas ? ».

 

Quoi ? Qui me verrait ?

 

J'entendis ma femme ouvrir la porte, une voix masculine la salua, une voix que je ne connaissais pas. Elle salua à son tour, j'entendis un bruit de bises et elle fit entrer l'individu. Qu'est-ce que c'était que ce bazar ? Elle faisait entrer un inconnu dans la maison ! Je quittais le salon et couru me réfugier dans notre chambre, il ne manquerait plus qu'on me voit à poil dans le salon, attaché, bailloné et en train de bander par dessus le marché !

 

J'entendis ma femme et le bonhomme qui allaient dans le salon puis ma femme s'exclama « Ah ! Il se cache ! Mon amour ? Où es-tu ? » Elle me chercha dans la maison, me trouva dans la chambre, lança par me couloir « Il est dans la chambre ! » et reparti dans le salon, d'où elle revint accompagné par le bonhomme...

 

« Mon amour, je te présente Lionel »

 

Complétement ahuri, je regardais « Lionel », un jeune mec de 25 ans maximum, qui me dévisageait l'ait goguenard.

 

« J'ai rencontré Lionel sur Internet, poursuivit ma femme, je lui ai parlé de la surprise que je voulais te faire pour Noël. Il était partant et m'a convaincu qu'il saurait s'occuper de toi ».

 

Avec le recul, je lui aurais demandé comment il l'avait convaincue, mais sur le moment j'étais trop abasourdi.

 

« Alors petite lope ! On aime se faire humilier ? » me lança « Lionel ».

 

Je n'étais pas loin de défaillir.

 

« Ta femme m'a dit que tu étais une tarlouze et que tu regardais des films de pédés ? » ajouta-t-il en s'approchant de moi et en me prenant le sexe et les couilles dans sa main.

 

Je sentis des larmes monter aux yeux.

 

« Mais c'est qu'il ne peut pas répondre ! Il a un baillon ! » ricana-t-il.

 

Il me « soupesa » mon intimité : « Elle avait raison ta femme, il n'y a pas grand chose... ». Il m'enleva le pagne : « Ah ouais, en effet, c'est pas terrible ! ».

 

« Allez petite lope ! Tu vas t'occuper de moi » fit-il en m'enlevant le baillon.

 

« Ordure ! Salope ! Pourriture ! Qu'est-ce que tu fous ?! » hurlai-je après avoir craché mon excès de salive.

 

« Lionel » me gifla violemment, une gifle à m'en faire perdre le souffle : « Tu ne parles pas comme ça à ta femme, compris ?! »

 

Je crois que je disjonctais, je ne comprenais plus, ma femme était assise dans un fauteuil et nous regardait, j'étais entravé et à moitié étranglé par Lionel qui prenait manifestement plaisir à la situation, j'étais sans aucune défense, sans aucune capacité de prendre ou reprendre le dessus, j'étais à poil devant ce mec que ma femme avait choisi, un mec pas trop moche en plus, jeune, tout ce qu'il fallait pour me faire sentir minable...

 

Et j'étais là, minable effectivement, et nu, minable et désemparé, je me mis à pleurer, je hurlais mes larmes, j'étouffais sous mes larmes...

 

« Allez petite fiotte » fit doucement Lionel en me caressant, « on se calme, viens contre moi » fit-il en me ramenant à lui, m'entourant de ses bras, me caressant le sexe, les fesses, les flancs.

 

Je pleurais toujours, Lionel prit la corde dans mon dos et la tira vers le bas pour me faire descendre, je me mis à genoux. « C'est bien petite fiotte, tu comprends » dit-il d'une voix douce.

 

Il se débraguetta, descendit son pantalon et son caleçon, son dard pointait vers mon visage.

 

« Suce ! » intima-t-il.

 

 

J'ouvris la bouche, happais son sexe qui, heureusement pour moi, n'était pas si gros non plus et commençais un mouvement de va-et-vient.

 

« C'est bien petite fiotte, tu sais y faire ».

 

Oui, ma femme m'avait tout appris en la matière.

 

Il me prit alors par les cheveux, m'immobilisa puis accélera le mouvement dans ma bouche. Je restais sans bouger, la bouche grande ouverte pour ne pas lui faire sentir mes dents (je ne voulais pas me prendre une deuxième gifle), je serrais mes lèvres ou plaquais comme je pouvais ma langue contre son sexe qui allait et venait, il poussait des petits soupirs d'aise.

 

J'ignore combien de temps dura cette fellation mais elle me sembla une éternité, j'avais de plus en plus de mal à garder la bouche ouverte, « Lionel » imprimait la cadence, je n'étais qu'un trou dans lequel il introduisait son sexe, j'avais du mal à respirer, je ne pouvais déglutir, ma salive me coulait sur le menton, son dard me congnait parfois le fond de la bouche et provoquait des hoquets, il n'avait aucune considération pour moi.

 

Je pris alors le parti de « me laisser aller », de n'être que ce qu'il attendait de moi : la fiotte, l'essuie-tout, le truc jetable dans lequel on se soulage. Et je me remis à pleurer, j'étais devenu le petit garçon maltraité par son père, j'offrais mon corps d'adulte à une brute qui se soulageait, j'avais la bouche ouverte et une queue dedans, et je perdais pied...

 

Lionel finit par se dégager, dans un râle.

 

« C'est bien petite merde, tu t'es bien démmerdé. »

 

J'étais pantelant, je le regardais sans comprendre, il s'était écarté de moi et moi j'avais envie d'y retourner, j'avais peur d'être laissé à l'abandon.

 

Il se déshabilla entièrement, je le regardais avec désir, il n'était pas trop mal foutu, il était le genre de mec avec lequel j'aurais aimé faire l'amour, dans les bras duquel j'aurais aimé me blottir.

 

Il s'approcha de ma femme, l'embrassa, l'attira contre lui. Elle se laissa faire, se leva même, l'embrassa avec une fougue que je ne lui ai jamais connu avec moi, elle le carressait, il bandait à la verticale, cela fini de m'humilier, moi dont l'érection était petite et même pas dressée.

 

Lionel vint vers moi, m'attacha au radiateur en fonte de la chambre et retourna vers ma femme qui s'était déshabillée elle aussi.

 

Il firent l'amour dans notre lit, devant moi qui ne pouvait réagir. J'avais l'impression d'assister à un porno en direct mais Lionel ne se contentait pas de tirer son coup, il la caressait, la léchait, la massait, l'embrassait, la sollicitait, la caressait encore.

 

Ma femme lui répondait, le caressait, lui taquinait le corps et le sexe de sa langue.

 

Impuissant, je les regardais faire, cet homme que j'avais sucé donnait du plaisir à ma femme, je ne pouvais qu'assister impuissant à leurs ébats, j'étais nu, entravé, exposé et ils prenaient leur pied.

 

Comme ça se passe chez la plupart des couples, leurs étreintes s'achevèrent peu après l'éjaculation de Lionel. Il l'avait prise en levrette (une position qu'elle adorait car elle se sentait ainsi totalement offerte) mais lui réussit à faire durer le coït, alors que moi, d'habitude, j'éjaculais presque toujours à peine introduit en elle, tellement cette position m'excitait aussi.

 

Lionel se rhabilla, s'en alla après un dernier baiser à ma femme. Quand elle revint dans la chambre, elle ne me détacha pas, elle alla chercher une cravache, me caressa le sexe avec, la fit remonter jusque sous mon menton et me releva la tête :

 

« A partir de maintenant, c'est moi qui décide. »

 

fantaisies-8.jpg

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Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 16:28


My wife knows that I play with chastity cages but is not interested in them. Once, however, we made love while I was wearing one. Paradoxically, with my sex trapped, knowing that there would be no erection, no penetration, no contact or touching of any kind on it, I felt completely liberated, I no longer had that pressing quest for coitus, for ejaculation, which often leads to and shortens the sexual act. By contrast, I also realised that I usually made love in more or less the same way, even lazily (yes, after many years of marriage, we don't joke around anymore), which made me feel guilty, but telling myself, to clear my conscience, "it will be better next time"...

(obviously, the next time was the same)


A second memory. We were on holiday by the sea. I was wearing a cage without anyone knowing. My wife decided to go to the beach and I didn't have time to get away before leaving. So it was with surprise that she discovered my "outfit" on the nudist beach we were visiting... It was also the first time that I was publicly exposed in a situation of "inferiority" (with a very small cage!), next to many men and couples in total freedom...

Being so constrained, I was not at my best. And yet... I have never felt so strong: I dared to show myself publicly with my sex locked in a cage...

Even if the situation was far from one of my favourite fantasies (being undressed and then exhibited, in private, in front of a smaller audience, like CFNM).

Later, my wife told me that she felt a kind of pride in "owning" me like that and that everyone knew about it...

 

fantaisies FdB0z4gWAAALqhv

 

(no, that's not us in this picture!)

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Mardi 20 septembre 2 20 /09 /Sep 16:21



Ma femme sait que je joue avec des cages de chasteté mais ne s'y intéresse pas plus que ça. Une fois pourtant nous avons fait l'amour alors que j'en portais une. Paradoxalement, mon sexe étant prisonnier, sachant qu'il n'y aurait donc ni érection, ni pénétration, ni contacts ni attouchements d'aucune sorte sur lui, je me suis senti complétement libéré, je n'avais plus cette quête pressante du coït, de l'éjaculation, qui conduit et abrège souvent l'acte sexuel. Par contraste, je me suis rendu compte aussi que je faisais habituellement l'amour toujours plus ou moins de la même façon, paresseusement même (eh oui, après de nombreuses années de mariage, on ne fignole plus), ce qui me faisait culpabiliser, mais en me disant, pour me dédouaner, « ça sera mieux la prochaine fois »...

(évidemment, la fois d'après c'était pareil)


Un deuxième souvenir. Nous étions en vacances en bord de mer. Je portais une cage à l'insu de tous. Ma femme décide d'aller à la plage et je n'ai pas le temps de me libérer avant de partir. C'est donc avec surprise qu'elle découvre ma "tenue" sur la plage nudiste que nous fréquentions... C'est aussi la première fois que je me retrouve publiquement exposé dans une situation "d'infériorité" (avec une toute petite cage ! ), a côté de nombreux hommes et couples en totale liberté...

Étant ainsi entravé je n'étais donc pas à mon avantage. Et pourtant... Jamais je ne me suis senti aussi fort : j'ai osé me montrer publiquement le sexe enfermé dans une cage...

Même si la situation était loin d'un de mes fantasmes préféré (être déshabillé puis exhibé, en privé, devant une assistance plus restreinte, genre CFNM).

Plus tard, ma femme m'a dit qu'elle avait ressenti une sorte de fierté de me "posséder" ainsi et que tout le monde le sache...

 

fantaisies FdB0z4gWAAALqhv(non, ce n'est pas nous dans cette photo !)

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Vendredi 16 septembre 5 16 /09 /Sep 07:00

 

He didn't seem to be the most lipstick-laden and when the bar owners counted down in front of the customers I sighed with relief that I was in last place.

 

The guy who came first, a rather young guy, was untied and headed for the stage without being asked. Being last and therefore not "selected", I waited to be untied so I could go home. I had "presumed my strength", to fantasize about being the object of a slaughter was one thing, to actually be one was another... The harsh "preliminaries" inflicted during the "selection" by the clients made me fear the worst afterwards.

 

From the room and the stage came clamours, they must have been having fun. The guys from the bar had accompanied the young man, I was waiting for one of them to come back to untie me, or was it the barman who did it?

 

Time went by, from the room there was always shouting, whistling, moaning, but nobody came to untie us. From time to time, customers came back to us, rubbing us, caressing us (I should say triturating us), sucking us, masturbating us, exploring us again and again, I can't count the number of fingers they put in my anus that night, and those they tried to put in my mouth right afterwards...

 

After a long time, a voice covered all the tumult: "We thank Guillaume for his participation and we applaud him loudly", it was one of the guys of the bar who had taken the microphone, announcing the end of the "performance" of the young man who had gone on the stage.

 

The two "guards" from the bar came back to us and untied the second guy, who immediately went to the stage too...

 

So that was it... We were all going to die... I had a jolt of anxiety at having taken so long to understand, I almost had a fit of panic at the idea that I too was going to "go down", I looked at the guys in front of me... No, it wasn't possible! I had nothing to do with them! They were there to fuck, to fuck without restraint and without the slightest consideration for their "partners", and I was in the position of the prey, the prey in front of which they were licking their lips.

 

My heart was pounding, I tried to control my breathing, I closed my eyes. "Adapt or die" was the grandiloquent and also unqualified motto that all the beaters kept repeating to themselves, I, in this, was going to be the beaten...

 

Translated with www.DeepL.com/Translator (free version)

Par Fantaisies en rut mineur - Publié dans : SM
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