J'aime beaucoup cette photo :

Je l'ai trouvée par des chemins "détournés" : en regardant mes statistiques de fréquentations et en regardant d'où venaient mes visiteurs.

Cette image était sur un blog "voisin", un blog listé sur les résultats de recherche de quelqu'un qui cherchait le mot "soumis".

(Accessoirement, que de recherches avec le mot "soumis"... Et pas évident pour autant de trouver un maître ou un soumis digne de ce nom...).

J'ai donc listé les mêmes résultats et j'ai été intrigué par cet article : « Soumis qui suce sa maîtresse », alors que la maîtresse était visiblement dôtée d'une belle queue...

J'ai cliqué, et je suis tombé sur deux photos, dont celle que j'ai mis dans cet article, qui est celle qui "m'émeut" le plus.

La maîtresse est en fait un travelo, elle en a déjà les seins (on les voit sur l'autre photo), et elle a encore sa (très grosse) queue. Queue sur laquelle s'affaire celui qui se fait passer pour son soumis (il a des cordages autour du corps, qui l'entravent plus ou moins. Si c'est pas des signes extérieurs de soumission, ça ? Du fétichisme à deux balles, oui ! ).

Mais en dépit des ces petits défauts, j'aime beaucoup cette photo. J'aime beaucoup la mine de ce petit rouquin ango-saxon bien propre sur lui qui a grand peine à ingurgiter la queue de sa maîtresse...

J'aime le contraste entre cette queue si grosse et ce visage si frêle. J'aime la toute-puissance de ce sexe de Noir introduit dans la bouche menue du soumis. J'aime ce cadrage en plongée qui accentue sa position de soumission...

Inutile de dire que je me verrais bien à sa place... Que j'adorerais être ainsi humilié, être ainsi poussé dans mes derniers retranchements : devoir sucer une queue trop grosse pour moi, montrer mon incapacité à le faire, être puni pour cela...

Mais... Mais... La vie est ainsi faite... Il y a beau avoir énormément de gens qui fantasment comme moi, il y a beau avoir énormément de gens qui se verraient à la place du Dominant...

Chacun reste quand même tranquillement chez soi à s'exciter devant ces textes et ces images, au lieu de vivre enfin sainement leurs désirs.